On pourrait avoir envie de l’interpréter pour la fête des mères, mais son sens est à l’opposé : c’est l’absence de mère qui est le thème principal.
C’est par le jeu qu’on transmet à nos enfants. Insouciance nécessaire dans la vie de toute personne en construction.
Cette poésie nous parle de ces instants qui passent tous trop vite, et des priorités que l’on souhait mettre pour ceux qui nous aiment.
Cette chanson me saisit par l’émotion qu’elle dégage : continuité des harmonies et filet de voix grave de Tanita Tikaram.
Des doubles croches dans tous les coins. Tout est précis, millimétré, et appuyé par Henrik Linder, le monstre scandinave de la basse à 6 cordes
La fin, c’est le thème de la chanson. Et la fin peut être très douloureuse. Personne ne gagne !
ce qui fait la force de cette chanson, c’est la grille d’accords qui use de renversements.
Le fait que Calogero soit bassiste n’y est surement pas étranger.
Björk est pour moi un de ces génies de la musique, foisonnants, hyper créatifs, qui n’hésite pas à faire des expériences avec les notes, les sons…
Qui n’a jamais rêvé d’écrire l’histoire, ou en tous cas de la marquer ?